mercredi, avril 11, 2007

Google Page Creator

Il y a quelques mois de cela, j'avais lu une nouvelle techno qui nous apprenait qu'un des mille projets de Google était de permettre aux internautes de créer facilement des pages web sans avoir à connaître les codes html (donc WYSIWYG) et sans recourir à des services d'hébergeur. Je suis allé vérifier cette fin de semaine ce qu'il advenait de cette idée. Et bien, ils la développent de belle façon.

Il suffit de s'ouvrir un compte courriel gmail et de créer une page d'accueil (ce n'est même pas nécessaire) pour ensuite créer des pages individuelles que vous avez le choix de lier entre elles comme bon vous semble. Comme le service est offert par Google, l'outil fonctionne à peu de choses près comme celui de Blogger.

Je vais m'en servir pour publier des articles ou des extraits d'articles, allégeant ainsi visuellement mon blogue et gonflant ainsi un peu plus les archives virtuelles du web.

Ainsi, au lieu de publier l'entrevue complète de 24 Images avec Richard Leacock, je vais faire une introduction pour ensuite indiquer simplement: Cliquez ici pour lire l'entrevue.

Voyez l'ébauche de ma page d'accueil.

Génial comme service, non?

Google Page Creator

4 commentaires:

Anonyme a dit...

J'ai découvert Google Page Creator il y a quelques mois, moi aussi. Je m'en sers encore aujourd'hui pour quelques trucs qui ne méritent pas toute la place sur mon blogue, mais qui méritent tout de même d'être publiés ;)
Vraiment, on dira ce qu'on voudra, mais Google, ils l'ont pour l'innovation !

marmel a dit...

tu pourrais aussi négocier un hébergement par 24 images
:D

Antoine a dit...

@Genevieve
Google est tellement loin devant toute compétition! Ça fait longtemps que je les admire même si je n'aime pas l'hégémonie en général.
@marmel
Ahahah, c'est vrai que si ça continue, ou ils vont me demander de retirer les articles ou ils vont m'engager comme transcripteur. C'est que je trouve dommage d'avoir un outil puissant comme le web (et Google) et ne pas avoir davantage accès aux innombrables documents existants.

marmel a dit...

j'aimerais bien que d'autres revues comme Ciné-bulles et Séquences offrent des textes en ligne...
j'avoue que j'ai tendance à me renseigner davantage en anglais pour le cinéma.
(pareil pour quand je travaillais ma maîtrise: les courants américains étaient souvent plus pertinents que la critique française par rapport à mon approche théorique, et la documentation québécoise quasi-inexistante...)